Salut les chauves !
Comme vous le savez mes Sharks sont destinés depuis
le départ à affronter les biquettes de l’espace de Garga sur leur monde démon labyrinthique.
Dans cette optique je me suis lancé à
écrire un petit bout de fluff afin de poser l'ambiance.
Du sang dans l'eau
Perdu …
Pour lui c'était un sentiment nouveau…
L'un de ceux laissant un gout de cendre sur sa langue..
Il avait toujours su ou il devait allez, ce qu'il devait faire. Mais aujourd'hui Il était perdu.
Ou était-il ? Il n'en avait aucune idée…
Chaque seconde passé dans cet enfer faisait s'inverser toute les notions de distances.
Les repères que sa mémoire d'Astartes avait pu emmagasiner jusqu'ici ne lui était d'aucune aide, car tout n'était que folie.
Les murs de ce dédale infernal semblaient l'épier et était comme habités d'une volonté propre. Les runes recouvrant le sol pulsaient d'une lueur mauvaise à la manière d'un cœur malade, blessant ses yeux d'un noir d'encre.
Depuis combien de temps était –il ici ?
Malgré le chronométrage précis que lui offrait son armure de bataille, il avait perdu le compte. Le temps ne semblait pas avoir d'emprise dans ces couloirs.
Il avait vu au détour de certaines salles, des frères, depuis longtemps tombés dans les entrailles du labyrinthe mener à nouveaux le combat qui les avaient vus périr…
Cette sensation de désorientation, avait quelque chose de malsain, rongeant leurs esprits comme une nuée d'insectes.
Elle les avait assaillis lui et ses frères aussitôt qu'ils eurent respirés pour la première fois l'odeur de charnier qui imprégnait l'atmosphère de cette lune.
Il luttait cependant contre son influence tandis qu'il courait à travers les couloirs changeant.
Bien que seul et totalement désorienté il savait qui il était.
Les bords effilés de ses dents, le prédateur des profondeurs sur son épaulière et les spirales des tatouages guerriers qui ornaient ses cannons d'avants bras. Tous étaient des points de lumière brillant à la surface de l'abysse ou il avait plongé. Un repère que les murs ne pouvaient lui prendre.
Il était Léucas Sorrha. Sergent de la 8ème compagnie de combat du chapitre des Carcharodons et il avait été envoyé sur cette lune sortie de la mer des âmes par le capitaine Nébriuson.
Il ne savait plus pourquoi son chapitre l'avais envoyé ici lui et ses frères. Les détails de sa mission ayant disparus dans la brume nauséeuse du dédale. Il ne lui restait maintenant qu'un seul objectif :
Survivre.
Son armure était endommagée et son corps soufrait d'une bonne dizaine de blessures. Il avait perdu son bolter, tout comme il avait été séparé de ses frères lors du dernier affrontement, mais il lui restait toujours les fidèles mâchoires de son épée tronçonneuse. Cette dernière encore maculé du sang de son dernier repas.
Car bien qu'ayant perdu ses frère, il n'était pas seul dans ce labyrinthe…
La folie n'était pas l'unique chose qui le traquais sur ce monde. D'autres prédateurs que lui chassaient dans ces profondeurs.
Ils étaient sortis de nulle part…
Des créatures dont la sauvagerie égalais la leurs.
Ils combattaient avec de longues lances rouillées surmontées de bolters, des boucliers ronds dont le modèle lui était inconnu et d'antiques armures. Si ils avaient été des spaces marines autrefois, il n'en restait qu'une triste parodie aujourd'hui.
Elles étaient des bêtes au poiles hirsutes aux sabots fourchus et aux visages bestiaux surmontés de longues cornes.
Il étaient les chasseurs ..Ses frères et lui étaient les proies.
Cependant, alors que Léucas tentait de semer ces poursuivants, l'ombre du prédateur s'impatientait en lui. Il sentait son ballai mortel s'intensifier dans son esprit tendis qu'il remontait en surface et que sa faim de carnage menaçait de le submerger. Ce monde l'appelais, l'enrageai...
Des tires de bolters retentirent, le tirant de ses pensées. Il s'élança dans leurs direction mais les murs du labyrinthe ce mirent à bouger plus vite encore, comme pour le ralentir.
Arrivant enfin à l'origine des tires, il débouchât sur une salle immense à ciel ouvert, laissant voir la tourmente des vents multicolores qui brûlaient dans le ciel de cette lune infernale.
Les bêtes étaient là en grand nombre, maculées de sang, le sabot de celui qui semblait être leur meneur reposant sur le corps démembré d'un de ses frères. Six d'entre eux gisaient là, avec les carcasses des bêtes ayant apprises à leurs dépends que même hors de l'eau un requin pouvais tuer.
Le meneur leva la masse imposante qu'il tenait à la main et poussât un rugissement bestial dans sa direction. Un véritable appel au carnage, une litanie de sang sous sa forme la plus primale.
Léucas se préparas à mener son dernier combat...
Soudain un éclaire de lumière blanche frappât la pièce, rapidement suivit par un deuxième, puis un troisième. La résonance des déplacements d'aire faisant crisser ses dents.
Léucas n'eu pas à ouvrir les yeux pour savoir qu'une vingtaine de terminators de son chapitre venaient d'apparaître entre lui et les bêtes.
Les créatures avait répandu le sang dans l'eau… Et le sang attirait les siens.
Il vit le capitaine Nébriuson et sa garde rapproché s'élancer à l'assaut sans un mot tendis que d'autres de ses frères arrivais dans des chocs de lumières.
Léucas activa son épée tronçonneuse et laissa enfin le prédateur en lui reprendre ces droits.
Alors qu'un rire sourd émané des entrailles du labyrinthe semblais rouler sur le champs de bataille,
Le carnage commença.
Voilà en espérant que ça vous plairas ;)
Malchy.
moi j'applaudis de mes deux sabots !
RépondreSupprimerC'est bien écrit, avec de bonnes idées et plein de bons petits détails. Bon va falloir que je réplique avec ma version de l'histoire ! Et qu'on se croise histoire d'en parler un peu et de partir dans la même direction si ça te tente.
Complètement ! hâte de lire ça ;) Oui quand tu veux pour une discutions fluffique. Tien moi au courant de tes dispo ;)
RépondreSupprimer